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La fin de l'hiver
(nouveau printemps)
lundi 7 avril 2003, par
Jean Marc
,
Joseph
,
Marie Noëlle
Oh quelle triste nouille J'ai la queue qui pendouille Quelle grande misère Ma queue est en hiver Mon prépuce est chassieux Comme celui d'un vieux Verra-t-on au printemps Haut relevé mon gland Ma queue au bois dormant Attend la belle enfant Sera-ce enfourne queue Madame moule en feu Adamante gluante Grosse chatte coulante ? Qui saura réveiller Ma queue paralysée ? Lucie le gras vagin Mimi les douces mains Françoise la trayeuse Ou Lola la suceuse ? Toutes sont bienvenues Pour peu qu'elles aient un cul Oh mes nouvelles Eve Faites monter la sève Sur un pauvre drageon Faites éclore un bourgeon Relevant le défi La meute court au vit La première sur le gland Se jette goulûment Icelui à l'instant Durcit rapidement Puis Lucie sur le vit Lestement s'accroupit Et voici notre bite Qui prestement s'agite Tour à tour elles s'épuisent Sur la grosse cerise Qui saura faire cracher Ce jus l'hiver gardé Madame moule en feu S'active de son mieux Françoise la trayeuse S'en va fort malheureuse Aucune des cramouilles Ne tire le jus des couilles Alors notre heros Las, leur tourne le dos Et de son pieu tout dur S'en retourne en ses murs Du hameau la doyenne Est de loin la plus chienne Et la plus aguerrie Concernant les kikis Pour vider un gras gland Rien ne vaut ses cent ans Elle deboucha la pine Et remplit sa bassine D'un litre de bon sperme Qui lui fit une crème De jeunesse et beauté Ma foi bien mérité Vous a-t-elle bien plu Cette belle complainte D'une queue qui plus Jamais ne s'est plainte ?
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